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inondation (national)
Conséquences en termes d’atteinte au fonctionnement des services publics :
« Dans notre commune, l’alimentation en eau potable se fait depuis une nappe située à 25 kilomètres, en bordure du Rhône. En 2003, lors des inondations liées à la crue du Rhône, les installations de pompage étaient sous l’eau, ce qui a engendré une coupure de l’alimentation de la ville durant trois jours. Les habitants ont donc été ravitaillés en eau minérale, ce qui a représenté une consommation de 1,5 millions de bouteilles. Le premier jour, les restaurants ont utilisé des assiettes en carton pour recevoir leurs clients. Mais l’activité s’est vite arrêtée en raison des problèmes d’hygiène liés notamment à l’absence d’eau dans les sanitaires. Cette pénurie est l’une des conséquences les plus délicates à laquelle nous avons été confrontés. »
Message adressé aux élus :
« A Nîmes, l’eau ne constitue pas le seul risque. Le maire que je suis est tout à fait conscient qu’il existe d’autres évènements pouvant produire des dégâts considérables. Il faut ainsi les anticiper au mieux. Aucune commune n’est malheureusement à l’abri d’une catastrophe comme un incendie ou un grave accident de la route. Il est également nécessaire de réfléchir aux comportements à adopter en cas de crise, pour éviter toute action dans la précipitation. »
Sources – CEPRI – Guide du Maire
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