Le 7 janvier, une fusillade a lieu au siège du journal « Charlie Hebdo » à Paris. L’assaut réalisé par deux hommes lourdement armé provoque la mort de douze personnes et en blesse onze autres. Les terroristes font l’objet d’une traque par les forces de l’ordre et finalement après s’être retranchés dans les locaux d’une imprimerie à Dammartin-en-Goële ( au nord de Paris), ils sont tués par des hommes du GIGN.
Le 8 janvier à Montrouge, un individu tue par balle une policière municipale et blesse grièvement une autre personne. Le lendemain, le même homme prend en otage les clients d’un supermarché cacher situé porte de Vincennes à Paris. Ce dernier tue quatre otages avant d’être abattu lors d’un assaut du RAID et de la BRI.
Dans un contexte international marqué par l’augmentation constante des actes terroristes à dominante islamiste, la mobilisation humaine et politique est sans précédent. Le dimanche 11 janvier, ce sont plusieurs millions de citoyens et de nombreux chefs d’État provenant du monde entier qui défilent lors de la marche qui rassemblent plus de 1,5 millions de participants à Paris et plus de 3,7 millions sur tout le territoire français, sans compter les rassemblements à l’Etranger.
Ressources
- Allocution du président de la République suite à l'attentat au siège de Charlie Hebdo
- Manifestation du dimanche 11 janvier à Paris: Déclaration de M. Bernard Cazeneuve
- Attentat à Charlie Hebdo : la France sous le choc - Le Parisien
- Charlie Hebdo: l’attentat le plus meurtrier en France depuis 40 ans
- Les moments clés de la prise d'otages porte de Vincennes
- A Paris et ailleurs, marches mondiales contre le terrorisme
Type de catastrophe
Liste des témoignages
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cauchemars et questions sans réponse
fbardeau | 07/01/2015Un de mes fils de 7 ans a été traumatisé par les attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Casher car nous habitons juste à côté du lieu des atte...
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La peur fait partie de moi
spettens | 07/01/2015Je m'appelle Nils, j'ai 8 ans. Au début j'ai pas compris pourquoi mes parents faisaient une drôle de tête. Ils étaient tristes et silencieux. Puis...