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Par
breizhblanc
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Incendie Parlement (Rennes)

Incendie du Parlement de Bretagne : 20 ANS DEJA ! Le 4 février 1994, il va y avoir vingt ans, avait lieu à Rennes la signature officielle du contrat de plan Etat - Région. Le chef du gouvernement, Edouard Balladur, était accompagné de six de ses principaux ministres.

Dans le contexte social très difficile du moment et la montée de la violence due à la crise économique du secteur de la pêche, il ne fallait pas être grand clerc pour redouter des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre. Ce qui se produisit échappa pourtant à tout ce qui aurait pu être imaginé.

Après une véritable journée d’émeute au cours de laquelle il y eut de très nombreux blessés graves, la nuit fut dantesque. Le Palais de Justice fut transformé en brasier. Un monument symbole de la Bretagne disparut pour, dès le lendemain, redevenir, pour un temps par la «magie des flammes»… «Parlement de Bretagne»

Il est tout de suite apparu à tous les observateurs sérieux ou sensibilisés aux problèmes de sécurité, que la responsabilité des fautes graves et des manquements constatés était à rechercher et ce au plus haut niveau. Au moment des faits j’étais Conseiller régional de Bretagne. La commission d’enquête administrative que je demandais, qui me semblait, à tout le moins indispensable, me fut refusée après qu’il m’ait été rétorqué par le président Bourges « que je n’avais pas le… sens de l’Etat !» A la suite de quoi je décidais de procéder à une enquête personnelle aussi complète qui soit.

A la lumière de cette dernière et cela a été confirmé par l’enquête judiciaire, je réfute ce qui est écrit dans la présentation fantaisiste de la catastrophe à savoir. « Une fusée éclairante…traverse en fin d’après-midi les ardoises du toit et se niche…dans la charpente en bois du palais. » La thèse officielle dit que « la fusée qui a atterri auprès de l’horloge centrale a fait fondre le plomb qui a « couvé dans les combles» et s’est propagé… en « rampant » à l’intérieur du bâtiment. » Pour autant, si cette dernière est bien arrivée à cet endroit, ce n’est pas elle qui a mis le feu.

Depuis il y a eu de nombreuses manipulations médiatiques et interventions douteuses, téléguidées pour accréditer la thèse officielle.

Je me suis toujours attaché à vérifier le plus possible les renseignements recueillis en ayant la volonté, à chaque fois, de remonter à la source. Je n’ai pas fait état, au contraire de « deux curieux chercheurs du CNRS en mission ( ?) » d’informations qui puissent être sujettes à caution ou lorsque les personnes me les ayant fournies n’ont pas accepté de me donner leur nom, leurs coordonnées cela quand bien même eussent-elles porté le sceau de la bonne foi

Le feu, est souvent accidentel. IL est surtout souvent «purificateur». Il y avait beaucoup de dossiers graves impliquant tous les partis politiques. D’où la collusion d’intérêts pour faire silence.

La thèse que je défends et qui se confirme au fil du temps, grâce aux témoignages recueillis lors de salons du livre ou de conférences, est celle d’un « incendie criminel » et non accidentel.

Il ne fait pas de doute que X aujourd’hui sénateur, maire à l’époque, avait honoré sa parole, en déposant, comme il s’y était engagé de manière formelle, les deux plaintes, une au titre de la Ville et l’autre à titre personnel pour avoir été « molesté et sauvé, de son propre aveu par les marins-pêcheurs »la vérité serait maintenant connue.

Il aurait participé à redonner la dignité au concierge ayant « bénéficié » d’un non-lieu annoncé en tant que… « seul mis en examen », et aux marins pêcheurs injustement accusés.

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Commune

Rennes 35000

Intensité selon le témoin

5 / 10