L’exploitant publie un communiqué de presse et informe les administrations concernées.
Quelques mm d’épaisseur sont mesurés au niveau de la brèche de 20 cm sur la canalisation
dont 2 tronçons sont prélevés ; le 1er en aval de la rupture est le plus usé avec 3 à 9 mm d’érosion.
L’exploitant écarte une nouvelle rupture à court terme, mais l’inspection des IC demande un
contrôle de l’unité sous 15 jours.
Des employés et 2 entreprises externes nettoient les lieux en humidifiant les terrasses. Les eaux
sont collectées dans un bassin de rétention. Un arrêté d’urgence est pris 48 h après l’accident
pour traiter les dommages hors site. L’exploitant transmet 3 jours plus tard à l’inspection des IC et à l’Agence Régionale de Santé (ARS) la composition du produit émis.
Un arrêté complémentaire impose la rédaction de procédures et instructions pour exploiter
l’unité dans des conditions de sécurité optimales, un plan de surveillance des équipements, ainsi
qu’une actualisation de l’étude de dangers et du POI de l’établissement. L’ARS demande le prélèvement d’échantillons dans l’environnement pour une étude des risques sanitaires éventuels.
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