Des reconnaissances aériennes évaluent la longueur de la pollution à 2 km ; 300 kg de poissons
morts sont récupérés. Afin de redémarrer, l’exploitant contrôle 107 des 194 cuves du site
et notamment tous ses bacs de liqueur noire.
L’exploitant fait traiter l’ensemble de la pollution confinée sur site par des centres extérieurs de
traitement de déchets autorisés, une unité de traitement mobile acheminée par camion et par
un traitement batch mis en place in situ. Les effluents résiduels des deux dernières filières sont rejetés après traitement dans le décanteur physico-chimique de la station d’épuration de l’usine. Les pertes de production sont évaluées à plusieurs millions d’euros.
Le bac présentait des signes de vétusté et de corrosion.
L’exploitant avait planifié des contrôles complémentaires sur ce réservoir fin juillet 2012 pour s’assurer de son aptitude à être maintenu en service. Dans le cadre de l’enquête judiciaire, une expertise est réalisée sur un fragment du bac dans le but de déterminer l’origine de l’accident.
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